Par une ordonnance du 31 mai 2019, le juge des référés du tribunal administratif de Lyon a rejeté la requête de l’association contre l'extension et les nuisances de l'aéroport de Saint-Exupéry (ACENAS).
L’ACENAS a saisi, sur le fondement de l’article L. 521-1 du code de justice administrative, le juge des référés du tribunal administratif de Lyon d’une demande de suspension du permis de construire, valant permis de démolir, accordé à la société Goodman France pour la réalisation d'une plateforme logistique dans l’emprise aéroportuaire de l’aéroport de Lyon-Saint-Exupéry.
Le juge des référés a estimé que, en l’état, aucun des moyens invoqués par l’ACENAS n’était de nature à faire naître un doute sérieux quant à la légalité de cette autorisation.