Dans son jugement du 14 février 2019, le tribunal retient que le prix de vente des terrains, et les modalités de paiement ont été déterminés à partir de l’estimation du service des Domaines diminuée des surcoûts liés à la pollution des sols. Il considère que le conseil municipal de Givors n’a donc pas cédé les terrains à un prix inférieur à leur valeur et que la délibération attaquée du 19 décembre 2016 ne constitue pas une subvention illégale à un culte.
Par ailleurs, le tribunal écarte les contestations du requérant invoquant une information insuffisante des membres du conseil municipal pour exercer utilement leur mandat.